Avec l'humour et la joie de vivre qu'on lui connaît, Nicole de Buron s'attaque, dans son nouveau roman à l'amour. L'AMOUR à tous les âges : depuis Attila, 7 ans, fou de passion pour sa maîtresse d'école et qui veut l'épouser, jusqu'à Lilibelle, la grand-mère de 75 ans qui fugue à Las Vegas se marier avec un contre-amiral de 80 printemps. En passant par tous les membres de la chère famille de l'auteur :Vous (c 'est-à-dire un peu toutes les femmes) ; L'Homme (l'éternel macho) ; Petite chérie et sa meute d'amoureux ; Fille aînée aux prises avec Monsieur Gendre N°1, Monsieur Gendre N°2 et ses enfants adolescents dont elle découvre, à son tour avec surprise, les brûlantes amourettes (elle a oublié les siennes).
Nicole de buron s'amuse aussi de quelques problèmes en amour. La jalousie dont une épidémie ravage la Tribu. L'argent dans le couple (qui paye quoi ?). Les fêtes, y compris la pire : la Fête des mères avec ses colliers en noyau de cerises ou en macaronis peints.
Nicole de buron s'amuse aussi de quelques problèmes en amour. La jalousie dont une épidémie ravage la Tribu. L'argent dans le couple (qui paye quoi ?). Les fêtes, y compris la pire : la Fête des mères avec ses colliers en noyau de cerises ou en macaronis peints.
Et le temps passe. Vous vous apercevez que l'Homme a plein de défauts agaçants (Vous aussi, si peu...) Mais vous en êtes toujours aussi amoureuse. Parce que vous êtes une sainte (chérie). Voilà un livre qui, comme les lectrices l'écrivent souvent à Nicole de Buron, "est si drôle qu'il mérite d'être remboursé par la Sécurité sociale" comme anti-dépresseur.
MON AVIS
Alors, alors… J’ai un avis plutôt mitigé sur ce livre. Je trouve cela plutôt dommage, car le début était très prometteur et me faisait penser que je passerai un excellent moment de lecture détente. Mais ce ne fut pas tout à fait le cas. Je m’explique.
J’ai commencé ce roman en étant très optimiste. Les avis et les notes que j’avais pu lire sur ce livre étaient très bons et je me disais qu’il valait bien le coup ! C’était d’ailleurs le cas lorsque je l’ai commencé. J’ai beaucoup ri ! Les péripéties que vivent le personnage principal et sa famille me faisaient bien rire, au début. Mais bon, voilà, à un moment donné, je me suis mise à moins rire, à moins apprécier l’histoire et va savoir pourquoi !
J’ai trouvé que cela se répétait un peu. En particulier ce genre de phrase (que j’ai mis en gras) : Le contre-amiral surgit chez vous un après-midi, sous prétexte de vous emprunter un livre, pendant que Lilibelle était une fois de plus chez son coiffeur (pardon : son «artiste capillaire»). Dès l’entrée, vous lui trouvez la moustache en berne. (Grand-Papa Jules, pas l’artiste capillaire). Il y en a au moins une dizaine, si ce n’est plus. Ça m’a bien faite rire au début, mais plus il y a en avait, plus je soupirais…
Par contre, il y a un point particulier dans ce roman. C’est la narration, au lieu d’être au je ou au il, comme on en a l’habitude, c’est plutôt au vous, comme si c’était le lecteur qui vivait l’histoire. Voici un exemple : « Vous êtes dans votre bain du matin. Mais comme vous savez que ce timbre aigu vous dérange aux moments les plus incommodes, vous avez soigneusement posé votre portable sur le coin de la baignoire.». Si au début cela m’a un peu déstabilisé, j’ai finalement trouvé cela assez intéressant ! Ça donne une autre dimension à l’histoire.
Plon - 205 pages
Il a l'air amusant !
RépondreSupprimerJe ne sais pourquoi mais cette auteure ne m'a jamais attiré.
RépondreSupprimerLe style de Nicole de Buron, déjà, il faut y adhérer pour l'apprécier, ce qui n'est pas forcément facile, mais dans le cas de ce livre ci, ça l'est encore moins, vu que contrairement à la plupart des autres, il n'a pas de vrai thèmatique. C'est juste une succession d'anecdote. Alors, soit on est ravi de la façon dont elle sont raconté, soit il vaut mieux laisser tomber, quitte à essayer un autre Nicole de Buron, un peu plus centré sur un sujet.
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